Dolly Box, une box pour petite fille de 3 à 10 ans?

Les box sont à la mode, elles sont déclinées sous multiples labels: beauté, culinaire (vin ou gastronomie), futures mamans, jeunes mamans (comprenez d’un enfant de moins de 2 ans), au activités manuelles… Certaines me tentent plus que d’autres. Je suis tombée par hasard sur une nouvelle mouture: une pour les petites miniatures filles de 3 à 10 ans.

Le concept:
Chaque mois pour 19,90 €, tu reçois dans ta boite aux lettres
– Des créations pour petites filles,
pour être belle, caliner, collectionner, créer…
– Le magazine trimestriel « parole de mamans »
pour s’informer, se détendre et partager.
– Des surprises, pour se régaler, s’amuser.
– Et peut-être un ticket d’or,
c’est un cadeau exceptionnel caché dans 1 box.

Je m’interroge comment peut-on recevoir chaque moi un magazine trimestriel? Sauf erreur de ma part, et de mon suivi de la langue française, trimestriel signifie une fois tous les 3 mois. Il y a aura un numéro spécial dans chaque colis? Ou les mamans/papas recevront le même numéro en octobre, novembre et décembre?

Je suis toujours sceptique face aux boites surprises. J’hésite à me procurer la Dolly Box pour ma Tite Der. Le hic, j’ai l’impression de délaisser mes grands. Les garçons n’ont pas leur box. A quand une égalité dans les activités? Les liens mamans/fils ou papas/filles existent. C’est le début, j’en conviens, mais je suis juste une peu triste pour les mamans qui n’ont pas de minis à couettes. Les moments privilégiés ne sont pas réservées qu’à une maman et sa fille. J’en ai aussi avec mes garçons. Ils aiment aussi découvrir des créations, jouer, créer, s’amuser.

La prochaine box sera une car box? :wink:

Je suis à deux doigts de me laisser séduire. J’attends les premiers retours. Oui, je suis frileuse.

Et vous qu’en pensez-vous des box? et plus particulièrement de la Dolly Box?

Dolly Box

Le CV du chat

La Patate adore le CV du chat. Vous le connaissez? Non?

Je vous laisse le découvrir. J’adorerais avoir la vie d’un félin. Un chat c’est classe dans toutes les situations. La technique du négociateur est tellement véridique. Impossible de résister aux yeux de la Patate. Même les Moopys se font avoir.

Pour le côté artiste, le vomi je m’en passerai bien.

Vive les chats!

Et non, je ne veux pas de version dessin du cv humain.

Le traffic de barrettes

L’année dernière, ma Tite Der faisait ses premiers pas dans le monde impitoyable des grands: l’école maternelle. Du haut de son petit gabarit de poussin, elle est entrée en petite section. (plus connu sous le petit nom de PS).

La découverte du milieu scolaire, enfin, dans un sens, ma mini voyait déjà ses frères s’y rendre.

J’ai découvert pour ma part, un univers différent, vu que les 2 premiers Moopys sont des garçons, ils n’avaient pas eu les mêmes expériences. Notamment capillaires. Là, j’ai eu le droit à la torsion qui aspire les barettes. Je ne vois pas d’autres solutions aux nombreux accessoires pour cheveux que j’ai du racheter, chercher, échanger ou faire une croix définitive dessus.

Au final, j’ai arrêté de compter les barettes en novembre. J’étais au beau score de 20. Quasiment une par jour. Je me suis interrogée. Ma puce m’a dit que Doudou s’amusait avec, que son ami imaginaire lui prenait. Pour ma part, je ne vois qu’une seule explication, ou deux selon laquelle vous parle le plus:

l’école est un aspirateur à barrettes. Les minis se font raquetter ou les échanges contre des biens. Je cherche encore. La récidive est là. Au bout d’une semaine de classe, plus de 4 barettes en moins. Et maintenant, le traffic prend le tournant des élastiques.

Je peux difficilement marquer 2 cm de barrettes avec un nom/prénom. Pourquoi? Que se passe-t-il se si étrange pour que je ne retrouve plus rien ou presque?

Donc, si vous avez une astuce pour attacher des cheveux longs mi-dos fins, je suis preneuse. Merci.

Dans le même genre, vous avez les vêtements. Comment un tee-shirt, un pantalon/legging peuvent disparaitre sans laisser de traces?

La rentrée tadaaaa

La rentrée et ses bonnes résolutions.
La rentrée et ses changements.
La rentrée et ses nouveautés.

La rentrée c’est une nouvelle page. Un nouveau départ.
Et la fin de 2 mois de vacances pour les Moopys. 2 mois d’activités. 2 mois sans école, sans voir tous les copains, à s’en faire d’autres.

La rentrée ahhh nom d’une noisette, c’est sympathique comme tout dans un sens. Un nouveau cartable, des cahiers neufs, des styles à marquer (120 pour ma part, combien j’en aurai à la fin de l’année scolaire?), des livres à couvrir.

Le retour des rendez-vous pour Prem, la course le midi pour l’emmener.
Le retour des activités sportives.
Le retour des incompréhensions des listes de matériels, je vous retiens avec le protège cahier transparent qui signifie blanc translucide, pas vert, pas jaune, pas bleu, blanc!!!
Le retour des copains.
Le retour des mercredis plus ou moins doux pour couper la semaine.

J’en connais surtout deux qui sont aux anges: La Patate et le Renard. A eux la maison, à eux la vie cool sans Moopys qui les nourrissent (pardon les gavent), à dormir, à se gratter, à squatter la canapé.
Et les parents soufflent un peu, si si, un peu.

En retard, moop rentrée à tous.

[Avis] Boy de Taika Waititi on a tous besoin d’un héros

On a tous besoin d’un héros

Envie de vous parler, d’un petit coup de coeur que rien n’annoncer: Boy. Je suis tombée sous le charme du récit initiatique mis en scène par Taika Waititi. C’est un bijou à partager en famille, pour les enfants et les parents pour un moment convivial, des rires et des émotions à fleur de peau. Ceux de ma génération se souviendront des stars de leur jeunesse en culotte courte comme Michael Jackson et son Thriller.

Boy, onze ans, habite dans un village maori avec sa grand-mère, son petit frère Rocky, et une tribu de cousins. Il vit dans un monde imaginaire, est fan de Michael Jackson et de son nouveau tube « Thriller ». L’autre héros de Boy est Alamein, père absent que le jeune garçon imagine tantôt en samouraï maori, tantôt en star du rugby ou encore en intime du roi de la Pop.
Après sept ans d’absence, lorsque Alamein rentre à la maison, Boy va devoir confronter ses rêves à la réalité.

Boy est un garçon qui attire le regard. Il est pétillant de malice, de vie et donne une immense bouffé de joie dans le coeur. Le film laisse une part belle à l’imaginaire des enfants face à la réalité parfois sordide de la réalité. Les images sublimes les émotions. Les notes énoncées ou non se devinent, soulignent les mots et transportent. Le monde est beau car il est le royaume des minis, il est plein de possibilité pour leurs yeux émerveillés. Loin de la vie d’adulte, les enfants sont les rois des aventures improbables. Ils poussent le gris loin, loin, loin. Le ton se veut mi dramatique mi humoristique, jamais mordant, jamais blessant, ni cliché.

Boy et Alamein

Mes Moopys ont littéralement été subjugué par Boy, ils sont restés scotchés à l’histoire du jeune héros. Ils se sont trémoussés en pensant à Thriller, et moi j’ai souri bêtement en revoyant mes propres pas totalement maladroits en entendant les notes. L’aspect fataliste du film m’a plu, c’est un peu le mien, même si je me soigne. Il part du principe que c’est tout noir, alors autant profiter et s’amuser. Une vision optimisme dans un sens, vivre tout simplement avec l’innocence de nos jeunes années. La sensibilité est omniprésente, l’amour de ses personnages se ressent du début à la fin. Face au doux rêveur Boy, le réalisateur met en scène un amour merveilleux: celui d’un père pour son fils. La vie ne l’a pas gâté, elle l’a blessé, abimé, usé, mais il se relève pour sa progéniture. J’ai eu les larmes aux yeux en voyant ce père interprété par Taika Waititi lui même cherché à ressembler à l’idéal de son Boy.

Le générique de fin est un beau signe, à vous de le découvrir… Foncez voir Boy, il vaut le détour si vous aimez la vie, les aventures, Michael Jackson et les rêves. Nous avons tous besoin de rêver et d’avoir un héros Boy nous l’offre. Une oeuvre déjantée, pop, acidulée, drôle et touchante, vous êtes prévenus.

Note: 8/10

3 Moop raisons de voir Boy:

  • Michael Jackson et Thriller
  • L’amour paternel de Taika Waititi
  • Le monde enfantin magique
Dès 8 ans.

Premier long métrage ?

Boy a été le premier film écrit par Taika Waititi. Le travail sur le scénario a duré trois ans, ce qui a donné le temps au cinéaste de tourner un autre film entre-temps (Eagle vs Shark, 2007). Toutefois, le réalisateur a toujours considéré Boy comme son premier long métrage.

Recherche difficile

Le casting de Boy a nécessité la recherche de plusieurs enfants pour les rôles principaux et pour la figuration. Le choix n’a pas été facile, et il a fallu faire le tour de tout le pays : « On voulait des enfants de la campagne parce qu’ils parlent d’une certaine manière. Avec les petits urbains, ce n’est pas la même chose. Nous sommes allés dans les écoles et nous avons vu plusieurs centaines d’en… Lire la suite

Distributeur: Les Films du Préau